Bonjour, je souhaite me débarasser ou atténuer des poches malaires plus ou moins fluctuantes avec la lumière ou la fatigue. Je souhaite quelque chose de naturel. Je précise que j'ai déjà fait de l'AH qu'il n'a fallu enlever par hyaluronidase car ça a gonflé. J'ai 43 ans. Que faire svp pour ces poches qui me gâchent la vie ? Merci
Marie Estheticon | Modérateur
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Bonjour Emilio et bienvenue parmi nous. 🙂
Le résultat des injections d'acide hyaluronique peut différer d'un médecin à l'autre, car il dépend de la technique utilisée par le médecin.
Si tu souhaites quelque chose de naturel sans passer par une intervention chirurgicale je te conseille de consulter directement un médecin esthétique par ici : https://www.estheticon.fr/chirurgiens/lifting
Bonjour,
Dans mon cas s'agit il aussi de poche malaire ? Elle n'était qu'un léger relâchement qui a grossi et ne fluctue pas. Que feriez-vous pour y remédier. Merci!
Dr Jacques Buis | Basic member | Chirurgie plastique reconstructrice et esthétique | Paris
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Bonjour monsieur,
Les poches malaires ne sont pas un problème simple.
Il s’agit d’un contingent graisseux particulier dont le volume varie souvent d’un jour à l’autre et dans la journée pour des raisons variables d’un sujet à l’autre.
Les causes de variation peuvent être la fatigue, l’alimentation, la consommation d’alcool ou de certains aliments, le moment de la journée et bien d’autres causes.
Ces variations témoignent donc d’une spécificité propre à ce tissu graisseux et qui le différencie du reste du tissu graisseux de la pommette qui lui ne présente absolument pas toutes ces variations.
Ce que l’on sait et qui est à peu près partagé par l’ensemble des praticiens qui s’y intéressent, se résume à ceci :
A- Toute injection d’acide hyaluronique destinée à camoufler estomper ce relief et réalisée à proximité ne fait bien souvent qu’aggraver la situation.
B S’agissant d’un tissu graisseux aux caractéristiques particulières et avec notamment un drainage lymphatique local peu efficace, des injections de type produits atrophiants, qu’il s’agisse de corticoïdes, de hyaluronidase ou de tout autre produit destiné à dissoudre les graisses peuvent être une solution.
Toutefois afin d’ éviter que le relief de la poche malaire ne soit remplacé par un creux sequelle d’injections trop importantes, il faut y aller par micro injections répétées à intervalles réguliers.
C - Le revêtement cutané de la poche malaire peut être particulièrement important. Cela se rencontrent d’autant plus fréquemment que le patient est moins jeunes. Dans ces conditions ,si en position allongée il existe une nette amélioration de la poche malaire en général, alors un lifting malaire appelé également lifting vertical ou lifting concentrique, va permettre entre autres résultats, de pouvoir évacuer cette peau en trop qui majore la disgrâce et la visibilité de la poche malaire mais aussi l’excès de peau à l’origine du vieillissement de la pommette et de la paupière inférieure.
Toutefois ce contingent graisseux persistera mais il sera affiné parce que étalé vers le haut et recouvert d’une peau dont la surface aura été diminuée , lissée car en partie évacuée vers le haut au terme du geste de lifting vertical médian.
Il est donc ainsi possible d’envisager en gros deux cas bien distinctes :
1 des sujets relativement jeunes sans excès cutané important en regard de la poche Malaire ni ptose de la pommette secondaire au temps qui passe.
=> Chez ces patients, En première intention il est justifié de proposer plutôt un traitement par injection destiné à diminuer la taille du volume et donc sa visibilité.
2 - Des sujets a priori moins jeunes, mais pas toujours, qui présente un excès cutané important en regard de la poche malaire associé à une ptose non négligeable de la pommette, le tout s’améliorant considérablement ou au minimum de manière significative en position allongée.
Chez ces patients moins jeunes , il est licite de proposer en première intention un geste de lifting malaire destiné à la fois à remonter la pommette et à évacuer l’excès de peau en regard de la poche malaire.
Si cette option n’est pas retenue par le patient, les injections qui atrophient la poche malaire peuvent être utilisées mais si le volume de la poche est importante alors l’excédent de peau va augmenter en regard de celle-ci avec la diminution de volume de la poche.
Dans cette situation la visibilité du croissant de peau largement en excès devient plus visible que la poche qui préexistait au moins tout autant.
En résumé, comme bien souvent il s’agit d’une affaire de cas par cas et le traitement de tel ou tel poche malaire ne peut être proposé qu’après avoir examiné et interroger le houlà patiente sur les caractéristiques de ses poches malaires.
Il faut donc consulter et peut être prendre plusieurs avis puis choisir comme l’on peut.
Je vous remercie de votre attention .
Dr Jacques Buis Chirurgie Esthétique Paris
Bonjour je suis suivie par le docteur varenderghem a Lille et prochainement il va m opéré pour enlever mes poches malaires mais pour l instant il me fait des injections de cortisone et mes poches ont bien diminuées
Sinon l opération il va ouvrir sur 1 cm très fin de chaque côté des yeux pour tirer le surplus de peau
La cicatrice sera très fine et ne se verra pas
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